le plan local d'urbanisme est le principal document d'urbanisme de planification de l'urbanisme communal. Il remplace le plan d'occupation des sols (POS) depuis la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi n° 2000-1208 du 13 décembre 2000) dite loi SRU.
6-Béatrice de Lavalette-Maire-adjoint de Suresnes-Nouveau Centre
7-Jean-Didier Berger-Conseiller municipal de Clamart- député suppléant-UMP
8-Sophie Deschiens-Maire-adjoint de Levallois-UMP
9-Bernard Gauducheau-Maire de Vanves-Nouveau Centre
10-Martine Parésys-Maire-adjoint de Bourg-la-Reine-UMP
11-Denis Gabriel-Maire-adjoint de Rueil-Malmaison-UMP
12-Ségolène Misoffe-Maire-adjoint de Boulogne-Billancourt-Nouveau Centre
13-Benoît Blot-Maire-adjoint du Plessis-Robinson-UMP
14-Isabelle Weill-Présidente de l’association RMC/BFM-Société civile
15-Gilles Norroy-Ancien conseiller municipal socialiste de Nanterre-Progressistes
16-Charlotte Bouvard-Secrétaire nationale de l’UMP, Présidente de SOS Préma-UMP
17-Bernard Gahnassia-Maire-adjoint de Puteaux-Parti Radical
18-Marie-Odile Granchamp-Maire-adjoint de Chaville-UMP
19-Jean Spiri-Conseiller municipal de Courbevoie-UMP
20-Barbara Feaugas-Conseiller municipal de Nanterre-UMP
21-Karim Benyelles-Responsable des Jeunes Populaires de Levallois, Conseiller municipal-UMP
22-Kadia Moisson-Conseillère municipale de Courbevoie-UMP
23-Pierre Deniziot Conseiller municipal de Boulogne-Billancourt – Responsable HandiPop-UMP
24-Claude Favra-Maire-adjoint de Montrouge-Nouveau Centre
25-Jean-Claude Carepel-Maire-adjoint de Châtillon-UMP
26-Amira Haberah-Conseillère municipale de La Garenne-Colombes-UMP
27-Jean-Loup Dujardin-Cadre territorial, Représentant syndical, Membre du comité permanent et bureau national de la gauche moderne – Asnières
28-Jeanne Bécard-Maire-adjoint de Garches-UMP
29-Anthony Dodeman-Responsable des Jeunes Populaires de Neuilly-UMP
Le blog des Jeunes de Neuilly soutient la liste UMP des candidats des Hauts-de-Seine pour les élections Régionales 2010. Nous félicitons, notamment, Anthony DODEMAN qui représente notre ville. Nous pouvons regrettez, cependant, qu'il n'y est pas plus de représentants neuilléens dans cette liste pour défendre Neuilly au Conseil Régional d'Ile-de-France.
En effet, Nicolas Sarkozy était l'invité, lundi 25 janvier, du journal de 20 heures de TF1 où il a été brièvement interviewé par la journaliste Laurence Ferrari. Il a ensuite répondu aux questions d'un panel de onze Français dans une émission animée par Jean-Pierre Pernaut. Au cours de cette soirée, plusieurs thématiques ont été abordées.
Chômage. Le président a annoncé un reflux du chômage "dès cette année". Selon lui, la France a "résisté plutôt mieux que les autres, puisque le chômage a doublé aux Etats-Unis, doublé en Espagne, augmenté de 60 % au Royaume-Uni. Un seul pays a fait mieux que nous en la matière, c'est l'Allemagne", a-t-il souligné. "Nous, on a quand même pris 450 000 chômeurs en plus" mais "c'est en train de se retourner", a-t-il affirmé.
Retraites."Les décisions que nous aurons à prendre concerneront tout le monde", salariés du privé et agents publics, a affirmé Nicolas Sarkozy. Après avoir rappelé que la réforme de 1993 n'avait concerné que le secteur privé, celle de 2003, les fonctionnaires et celle de 2007, les bénéficiaires des régimes spéciaux, il a confirmé que, "avant la fin de l'année, nous aurons pris les décisions qu'il faut". Le chef de l'Etat a promis de ne pas revenir sur le régime par répartition et de ne pas réduire les pensions mais il a, en revanche, dit travailler sur la perspective d'un allongement de la durée de cotisation et sur la question de la pénibilité du travail. Il a souhaité "qu'il y ait le consensus le plus large possible", et estimé que c'était son "devoir" de discuter avec la première secrétaire du PS, Martine Aubry, qui a évoqué un départ à la retraite à "61, 62 ans".
Renault. Le président a affirmé que les Clio 4 destinées à être vendues en France seraient produites dans l'usine de Flins (Yvelines) et que ce modèle ne serait donc pas fariqué entièrement en Turquie. "La stratégie de Renault ces dix dernières années, je ne l'accepte pas", a-t-il déclaré. Interpellé sur une éventuelle interdiction des délocalisations, le chef de l'Etat a répondu que "ce n'est pas une question d'interdire". "Si on veut vendre des voitures à la Chine, naturellement il faudra construire des voitures en Chine", a-t-il poursuivi, "mais je n'accepte pas que des voitures qui sont vendues en France soient construites à l'étranger".
Henri Proglio ne pourra cumuler ses fonctions de président non exécutif de Veolia avec son poste de PDG d'EDF que pendant "quelques mois", afin d'assurer une transition. "Quand la transition sera achevée il se dévouera à 100 % à ses fonctions à EDF", a-t-il déclaré.Il a cependant défendu les salaires élevés des grands patrons à la condition qu'ils assument leurs erreurs : "Je préfère un bon patron bien payé qu'un mauvais mal payé [...].Ce qui me choque, c'est le gros salaire qui ne correspond pas à une grosse responsabilité, c'est ceux qui sont contents quand tout va bien de ramasser l'argent et, quand ça va mal, il n'y a plus personne pour les malus", a-t-il ajouté.
Fonction publique. Nicolas Sarkozy s'est déclaré "prêt à envisager la titularisation progressive des contractuels" dans la fonction publique, dont il juge la situation "profondément anormale". "L'Etat ne peut pas dire aux entreprises : faites des CDI, contrats à durée indéterminée, plutôt que des CDD, contrats à durée déterminée, et proposer des contractuels", a-t-il affirmé. Il s'est également déclaré très favorable à "la diversification des voies d'accès à la fonction publique", qui se fait aujourd'hui sur concours.
Clandestins débarqués en Corse."Je le dis très simplement, nous soignons ces personnes, nous les nourrissons, nous les réconfortons, (...) et nous les raccompagnerons chez eux", a affirméle chef de l'Etat. "Parce que si nous ne faisons pas ça, alors les esclavagistes du monde entier et les réseaux criminels du monde entier tireront la conclusion qu'on peut faire débarquer n'importe comment des pauvres gens sur les plages de France. Le message est très clair", a-t-il expliqué.
Afghanistan. Le chef de l'Etat et des armées exclut d'envoyer "de nouveaux soldats combattants". A trois jours de la conférence de Londres sur l'Afghanistan, il a cependant déclaré que "si on a besoin de davantage de gens pour former (l'armée afghane), encadrer la police, réaliser des travaux de génie civil, aider la population ou à l'afghanistation, pourquoi pas". Interrogé sur les journalistes français otages en Afghanistan, il a affirmé qu'ils "sont en vie, en bonne santé, mais la situation est extrêmement difficile et extrêmement périlleuse". Il "sera temps une fois qu'on les aura fait revenir dans leurs familles de voir ce qui s'est passé, et pourquoi ils se sont conduits comme cela", a poursuivi le président de la République.
Taxe carbone. Le président a répété qu'il se battrait pour l'instauration d'une taxe carbone "aux frontières de l'Europe", une question qui est loin de faire l'unanimité parmi les 27. "On ne va pas imposer à nos industriels une taxe carbone et importer en France des produits fabriqués dans des pays où ils ne font rien pour protéger l'environnement", a-t-il expliqué.
La présentatrice de l'émission A vous de juger, Arlette Chabot, a évoqué en direct jeudi soir sa "surprise", en apprenant que Vincent Peillon (PS), invité à débattre avec Eric Besson et Marine Le Pen de l'identité nationale, se désistait. Pourtant, le coup médiatique était préparé depuis deux jours. Le député européen a précisé sur France Info vendredi avoir prévenu Martine Aubry "il y a 48 heures".
Le P-DG de France Télévisions, Patrick de Carolis, a peu apprécié cette nouvelle escalade dans l'art du scandale médiatique provoqué par le socialiste. Il a demandé à Martine Aubry de s'expliquer, estimant que le boycott volontaire des antennes publiques menace le fonctionnement même du débat démocratique à l'approche des élections régionales du mois de mars. "Au-delà de la forme, particulièrement déplaisante, avec laquelle Vincent Peillon a refusé de participer au débat alors qu'il devait y représenter le Parti socialiste, cette désertion pose un grave problème de fond. Il lui a également demandé, dans un courrier communiqué à la presse, de dire si elle cautionne ou non l'appel à la démission d'Arlette Chabot lancé par Vincent Peillon. "Un tel appel à la démission de responsables audiovisuels et de journalistes est, je crois, sans précédent depuis quelques dizaines d'années", écrit-il.
Eric Besson, qui a estimé vendredi avoir "gagné" son duel face à Marine Le Pen, a souligné pour sa part le manque de courage, selon lui, du dirigeant socialiste. "C'est la seule astuce que Vincent Peillon a trouvée pour essayer de faire parler de lui. Cela ne me paraît ni très glorieux, ni très courageux", estime-t-il dans Le Monde daté du 16 janvier.
Dominique Paillé (porte parole de l'UMP) a jugé, dans un entretien au JDD.fr , que "Vincent Peillon a démontré qu'il est un fourbe, tout simplement". "Il a donné sa parole et, dans le simple but de faire un coup médiatique, il ne vient pas au tout dernier moment. Ce n'est pas ma conception de la politique. Son attitude est tout simplement scandaleuse".
Incarnation du gaullisme social, homme du "non" au traité européen de Maastricht, Philippe Séguin s'est éteint jeudi à 66 ans, après une carrière de plus de 40 ans au service d'une certaine idée de la France.
Ancien ministre et président de l'Assemblée nationale, le premier président de la Cour des comptes, né en Tunisie en avril 1943, a succombé à une crise cardiaque dans la nuit.
Les obsèques de l'ancien ministre auront lieu lundi dans un lieu encore indéterminé.
Nicolas Sarkozy. Le président de la République a fait part de sa «très grande tristesse» et «très vive émotion». Selon lui, Philippe Séguin était «l'une des grandes figures et l'une des grandes voix de notre vie nationale». Il salue «un homme particulièrement attachant», «à l'intelligence rare», «au tempérament chaleureux et généreux», «entier et absolument passionné».
François Fillon. «Aujourd'hui je perds un ami et la France perd l'un de ses plus grands serviteurs et l'une de ses plus belles voix politiques. Une voix tonitruante, profonde, toujours féconde, une voix aussi parfois tourmentée», a déclaré dans une déclaration solennelle à Matignon, le Premier ministre, ému aux larmes.
Charles Pasqua. «C'est évidemment une nouvelle qui me bouleverse parce que Philippe Séguin était un ami très cher, un homme passionné aimant son pays» et «pour la France c'est une grand perte», a déclaré sur RTL l'ancien ministre de l'Intérieur. «Il était profondément pénétré par l'idée de la nation, de la République, c'était un grand républicain, un grand gaulliste», a-t-il ajouté.
Jean-Pierre Raffarin. «C'était un homme à caractère exceptionnel, il n'avait peur de personne, il résistait à tout, il avait de fortes convictions et beaucoup de courage, beaucoup d'audace», a déclaré l'ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, sur Radio Classique. «Non seulement c'était un orateur, mais il avait ce trait de caractère qui faisait de lui une personnalité à fort rayonnement dont le vide marquera la vie politique pendant des années», a-t-il ajouté.
Alain Juppé. «Il n'était pas facile, il avait un caractère que chacun connaissait et nous avons eu des divergences profondes parfois. Sur la direction du RPR, sur l'Europe essentiellement: je n'avais pas du tout partagé l'opposition qui était la sienne en 1992 au traité de Maastricht», a rappelé l'ancien Premier ministre. Mais «ça ne diminuait pas la profonde estime que j'avais pour lui parce que c'était un homme extrêmement intelligent d'une grande culture, d'une grande hauteur de vue, d'un grand sens de l'Etat».
Frédéric Lefebvre. «Philippe Séguin était un homme droit et passionné, qui a consacré toute son énergie au service des autres. Sa mort sonne comme un coup de tonnerre, il nous plonge dans une profonde tristesse», a déclaré le porte-parole de l'UMP.
Valéry Giscard d'Estaing. L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing a salué «une personnalité hors du commun, avec un grand talent et qui enrichissait le débat politique nationale».
Bernard Accoyer.Le président de l'Assemblée nationale s'est dit «ému» et «admiratif de l'homme et de son parcours». «Il a contribué à la vie démocratique avec un talent incomparable, des convictions extrêmement fortes et un caratère extrêmement attachant même si ce caractère était l'objet de courroux aussi brusques qu'inattendus».
Jean-Louis Debré. «Philippe Séguin a marqué la vie politique française depuis de nombreuses années, c'était une personnalité forte, complexe, capable de résister, capable de dire non mais surtout il y avait chez lui une certaine idée de la France, un grand respsect de la République et surtout le désir ancré profondément de faire en sorte que la France, la nation française soit respectée, forte et fière», a déclaré le président du Conseil constitutionnel sur i-Télé.
Bernard Kouchner. Pour le ministre des Affaires étrangères, la France perd «un républicain ardent et exemplaire qui aura profondément marqué notre vie publique dont il fut l'une des figures les plus originales et les plus attachantes : un homme de caractère et d'audace»,
A plusieurs reprises, le parti socialiste et quelques nouveaux élus avaient affirmé que les attributions de logements se faisaient sans aucune transparence.
Le récent rapport de la Mission Interministérielle d'Inspection du Logement Social à Neuilly portant sur la période 2003-2008 bat en brèche l'accusation.
Mené par 3 contrôleurs pendant 12 semaines, il précise que l'organisme gestionnaire des logements de la ville était bien géré, disposait d'une situation financière saine et n'a observé aucune anomalie dans les attributions.
Maintenir la transparence dans un souci de bonne gestion doit être l'objectif de tous.Il convenait de rétablir la vérité.
Joëlle Ceccaldi-Raynaud, députée et maire UMP de Puteaux, dans les
Hauts-de-Seine, a été élue, vendredi 4 décembre, à la présidence de
l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (EPAD)
Mme Ceccaldi-Raynaud a obtenu les voix de quatorze des
dix-huit administrateurs, dont toutes celles des élus de droite, dont
fait partie Jean sarkozy, celles des neuf représentants de l'Etat ainsi
que celle du membre de la chambre de commerce et d'industrie de Paris.
Son rival, le maire communiste de Nanterre,Patrick Jarry,
a recueilli les quatre voix restantes, à savoir celles de gauche. Un
des neuf représentants de l'Etat a décroché la première vice-présidence
de l'EPAD, tandis que M. Jarry, qui s'oppose à l'extension du quartier
d'affaires sur sa commune, a obtenu un autre poste de vice-président.
La réunion publique du mercredi 2 décembre 2009 marque un tournant décisif dans l’avancée du projet de réaménagement du parc de la Folie Saint-James. La synthèse des résultats de l’enquête et la présentation des premières pistes d’aménagement ont suscité un réel engouement et des échanges fructueux avec les Neuilléens.
Cette phase de concertation terminée(consultation effectuée par le Conseil Général des Hauts-de-Seine), l’architecte des Bâtiments de France, désigné en juin 2010, travaillera à affiner le projet dans le respect du lieu, de son histoire et des besoins actuels. Les travaux pourront alors débuter à partir de fin 2011 et jusqu’en 2013. Ces délais importants sont nécessaires pour faire revivre ce lieu emblématique au cœur de la ville, qui restera ouvert pendant toute la durée des travaux.
A très bientôt pour continuer ensemble à dessiner l’avenir de notre parc.
Jean Sarkozy: Conseiller général du canton de Neuilly-sur-Seine Sud Président de la commission des transports, de la voirie, de la circulation, de l'environnement, de la qualité de vie et de l'assainissement
Marie-Cécile Ménard: Conseiller général du canton de Neuilly-sur-Seine Nord avec délégation de fonctions pour les personnes âgées
Pour consulter les résultats de l'enquête et connaitre le projet de rénovation, veuillez consulter le site deLa folie Saint-James.
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